Xi'an
Une visite détaillée de la ville historique de Xi'an (西安) dans le Shaanxi, capitale de la Chine sous la dynastie Tang, de ses principaux monuments et musées et de l'armée de terre cuite de l'empereur Qin.
Xi'an (西安), située au centre de la Chine, est une ville traditionnelle, aujourd'hui célèbre mondialement pour son armée de guerriers en terre cuite. La ville historique est entourée d'un rempart datant de la dynastie Ming. Autour d'elle s'étend une ville moderne dont beaucoup d'immeubles datent des années 1990. Les sites historiques intéressants sont situés dans et à proximité de l'enceinte ainsi qu'à quelques dizaines de kilomètres.
La ville historique
La ville était l'aboutissement de l'ancienne route de la soie. Ancienne capitale de la Chine, devenue importante en 582, elle a connu son apogée sous la dynastie Tang. Elle portait alors le nom de Chang'an et avait une superficie 7,5 fois plus vaste que celle la ville historique actuelle. Rectangulaire et plus large d'Est en Ouest, elle faisait alors 35 km de circonférence pour 84 km² et était la seule ville du monde avec Rome à dépasser le million d'habitants.
Remparts
Les premiers remparts de Xi'an ont été érigés en 582, pendant la dynastie Sui. Cependant, l'intégralité de la structure visible aujourd'hui est beaucoup plus récente et date de la dynastie Ming. Ces remparts on en effet été construits par Zhu Shuang, en 1370. Ils mesurent 12 mètres de haut, 16 à 18 m d'épaisseur à la base et 12 à 14 m d'épaisseur au sommet. Leur circonférence de presque 14 km entoure une surface de 11,5 km².
Les remparts étaient entourés de douves. Les quatre portes correspondent aux quatre points cardinaux et forment des cours dans lesquelles se rassemblaient les soldats. Chaque brique utilisée pour la construction portait le nom de l'artisan qui l'avait fabriquée. Cela permettait d'identifier le responsable en cas de mauvaises performances du matériau. Les tours d'angles sont remarquables et joliment décorées.
Tour de la cloche
C'est une tour carrée, d'une quarantaine de mètres de haut, qui fut construite en 1384, au début de la dynastie Ming. Elle constitue un des symboles de la ville, d'autant plus qu'elle est située à l'intersection des avenues Nord, Sud, Est et Ouest et donc en plein cœur de la ville historique. On peut y voir de nombreuses cloches en bronze qui datent de la dynastie Tang.
Tour du tambour
Elle fut construite en 1380, sous la dynastie Ming, dont elle reprend le style. Elle est faite de briques et de bois, s'élève à 34 mètres de hauteur et couvre une surface de 1840 m². Elle abritait autrefois un énorme tambour. Celui-ci était frappé à trois reprises au cours de chaque nuit, la première et la dernière correspondant respectivement à la fermeture et à l'ouverture des portes de la ville. Le jour, c'était la cloche de la tour de la cloche qui sonnait à intervalles réguliers.
Musée du Shaanxi
Le musée de l'histoire du Shaanxi fut construit de 1983 à 2001 et a ouvert en 1991. Il dispose de nombreuses collections de toutes les époques impériales chinoises, mais principalement d'objets et œuvres de la dynastie Tang, qui correspond à l'apogée de Xi'an.
On y trouve aussi des guerriers de terre cuite de l'armée de l'empereur Qin ainsi que divers objets du mausolée, comme des oiseaux de bronze et une armure de pierre. Les autres se trouvent au musée du mausolée, loin à l'extérieur de la ville.
Forêt de stèles
La forêt de stèles, traduction exacte de 碑林 (Bei Lin), est un musée de calligraphie situé dans un ancien temple confucianiste. Depuis 1087, de nombreuses stèles de pierre couvertes de sinogrammes y ont été progressivement rassemblées, pour atteindre plus de 4000 pièces aujourd'hui. Il s'agit de pierres tombales de la dynastie Han (du IIIe siècle avant Jésus-Christ au IIIe siècle) mais également de textes de référence comme des livres historiques ou religieux et des listes d'actes économiques. On y trouve même le plan du palais Xingqing de la dynastie Tang et des stèles artistiques modernes.
L'entrée se fait en passant par l'une des trois portes, devant lesquelles se trouve un bassin formé de deux demi-disques. La porte centrale était réservée aux personnalités. À l'intérieur de la première cour se trouvent six pavillons construits pour protéger les stèles. Sur la gauche, une statue datant de la dynastie Da Xia représente un cheval. Sur la droite se trouve une cloche datant de la dynastie Tang sur laquelle sont gravés toutes sortes d'animaux ainsi qu'un texte écrit par l'empereur Ruizong lui-même. La cloche était traditionnellement frappée par un butoir en forme de poisson.
À l'autre extrémité de cette cour se trouve la table du Canon de la piété filiale, qui est un texte confucianiste de référence à propos du respect dû aux parents qui serait, selon le texte, la base de l'existence du monde. Le haut de la colonne a un motif en nuages représentant le ciel et le bas représente la terre.
La première salle rassemble 12 livres classiques chinois, en 114 tables, soit 228 côtés qui totalisent 650 000 caractères. Ces livres étaient les références essentielles des instruits du Moyen-Âge en Chine. Les étudiants préparant les examens impériaux pouvaient les copier en enduisant d'encre la pierre puis en y appliquant une feuille de papier. Les caractères apparaissent alors sur la feuille en blanc sur fond noir. Certaines dalles ont été brisées par des séismes.
La deuxième salle rassemble des stèles de la dynastie Tang (618-907). La plus importante est la stèle nestorienne, gravée par le missionnaire perse Jingjing en 781, qui témoigne de l'existence d'une communauté chrétienne nestorienne en Chine, depuis l'an 635 jusqu'à l'interdiction du Christianisme en Chine en 845. Le Christianisme arriva à nouveau en Chine au XIIIe siècle et la tablette fut retrouvée en 1625. Des reproductions de cette stèle peuvent être admirées dans plusieurs pays, dont le Vatican, à Rome.
Une autre salle présente des stèles bien plus artistiques. On peut citer par exemple celle représentant un poème et dont l'agencement des caractères forme un pied de bambou avec des tiges et des feuilles. Un autre, datant approximativement de 1870, rassemble plusieurs caractères en un dessin complexe représentant le « dieu de la littérature ».
Grande mosquée
La construction de la mosquée a commencé en 742, sous la dynastie Tang. Agrandie pendant les dynasties suivantes, elle couvre à présent une surface rectangulaire de 13 000 m² dont 6000 m² de bâtiments. Au printemps, il est très agréable de s'y promener, car les nombreux arbres du jardin sont alors en fleurs. Ses principaux bâtiments sont répartis en quatre cours :
- Première cour :
- L'arche en bois du mémorial, qui date du XVIIe siècle, avec ses tuiles vernissées
- Deuxième cour :
- La salle à cinq pièces, qui contient des stèles de pierre anciennes
- Les trois portes en pierre du mémorial, constituées de quatre piliers de pierre, datent de la dynastie Ming
- Troisième cour :
- Le minaret, octogonal, qui comporte trois niveaux et trois toits
- Quatrième cour :
- Le pavillon du phénix, appelé en réalité le « pavillon du Dieu unique », de style chinois et constitué de trois parties, peut faire penser à un phénix en vol
- La salle de prière, élevée par rapport au sol, a des tuiles bleues. À l'intérieur, sur 600 tablettes de bois, sont inscrits les versets du Coran
Le quartier musulman
La grande mosquée de Xi'an est située au cœur du quartier musulman, très animé, où l'on peut goûter des plats spécifiques à la culture des Musulmans chinois.
Pagodes de l'oie sauvage
La grande pagode de l'oie sauvage
La grande pagode de l'oie sauvage est la tour d'un temple bouddhiste situé non-loin du musée de l'histoire du Shaanxi, au Sud du cœur historique de la ville. En l'an 629, le moine bouddhiste Xuan Zang a entrepris un voyage vers l'Inde pour aller y chercher les écrits sacrés du Bouddhisme. En 645, il est retourné à Xi'an avec ces livres et les a traduits en chinois. Le temple et sa pagode, construits en 652, pendant la dynastie Tang, avaient pour principal but d'abriter ces livres sacrés.
La pagode elle-même contient plusieurs stèles portant des enseignements bouddhistes et diverses reliques bouddhistes. Suite à plusieurs tremblements de terre, elle penche sensiblement (plusieurs degrés) vers l'Ouest. On peut constater que sa construction en briques non-liées par du ciment a remarquablement (et presque miraculeusement) tenu face aux séismes successifs qu'elle a connus. Elle compte aujourd'hui sept étages et mesure 64 m de haut.
La pagode proprement dite est entourée de nombreux bâtiments annexes comportant des statues et des salles de prière avec des autels dédiés au Bouddha et à Xuan Zang.
Dans l'enceinte se trouvent aussi des jardins décorés de pavillons et de diverses structures servant sans doute d'urnes funéraires pour les moines décédés.
Biographie de Xuan Zang
Moine bouddhiste, voyageur et traducteur né en 602 à Luoyang (Chine) ; décédé en 664 à Xi'an (Chine).
En 629, ce moine bouddhiste chinois a entrepris un pélerinage vers l'Inde, afin de rapporter en Chine de nombreux écrits bouddhistes en sanskrit et d'apprendre cette langue. En 645, il est revenu à la capitale Chang'an (Xi'an) où il a entrepris de traduire ces ouvrages en chinois. Ses influences sur le Bouddhisme chinois de la dynastie Tang et sur les connaissances actuelles de l'Inde de l'époque sont considérables.
La petite pagode de l'oie sauvage
Elle date également de la dynastie Tang et sa construction a commencé en 707. Elle mesure aujourd'hui 43 m et comporte 15 étages. Comme la grande pagode, elle a servi de centre de traduction des écrits bouddhistes du sanskrit vers le chinois.
Le parc Xingqing
Ce parc, situé près de l'Université Jiaotong, est situé à l'emplacement de l'ancien palais des empereurs Tang.
Cathédrale Saint-François
Construite en 1716, elle a été agrandie en 1884. Elle fut fermée en 1966 et rouverte en 1980. Une messe en anglais y a lieu certains dimanches à 15h30.
L'Université Jiaotong
Cette université réputée possède un grand campus au Sud-Est de la ville historique.
La gare
La gare de Xi'an, comme beaucoup de gares chinoises, est extrêmement animée. La place devant elle traverse les remparts grâce à d'immenses ouvertures qui y ont été pratiquées. On y trouve toute la journée une foule de vendeurs et de voyageurs ainsi qu'une gare routière d'où partent les bus vers toute la ville et vers le mausolée de l'empereur Qin.
Autres lieux
Environs de Xi'an
Mausolée de Qin Shihuang
L'empereur Qin Shihuang fut le premier empereur à unifier la Chine de manière notable, au IIIe siècle avant Jésus-Christ. Son mausolée est un immense complexe, réalisé vers 200 avant Jésus-Christ, qui regroupe sa tombe (qui se trouve sous un tumulus) et deux villes concentriques enterrées contenant des dizaines de milliers d'objets et œuvres d'art censés accompagner l'empereur dans l'au-delà.
Selon certains documents historiques, l'empereur aurait commencé à planifier son mausolée dès l'âge de 13 ans. La construction aurait nécessité 38 ans et 700 000 travailleurs. Les villes intérieure et extérieure, entourées chacune d'un mur d'enceinte dont les périmètres valent respectivement 3870 et 6322 m, couvrent une superficie totale de plus de 56 km². Six groupes de bâtiments servant sans doute aux fonctionnaires ont été trouvés et disposent d'un système de drainage, ce qui est impressionnant pour l'époque.
L'armée de terre cuite
L'armée de terre cuite est l'élément le plus connu du mausolée de l'empereur. Elle rassemble plus de 7000 sculptures de soldats mesurant 1,8 à 2 mètres, tous différents. Elle est située assez loin (1,5 km) à l'Ouest du mausolée, ce qui surprend certains chercheurs.
Les statues étaient divisées en groupes séparés par des murs qui soutenaient des poutres. Le sol des galeries était couvert de briques et un pilier de 30 cm de diamètre soutenait le toit tous les 1,5 mètres. Au milieu des statues ont été retrouvés toutes sortes d'objets, des armes aux outils et instruments de torture ainsi que des objets d'art (oiseaux en bronze, grandeur nature) et de fausses armures, faites en pierre. De nombreux animaux ont été enterrés dans des cercueils et d'autres (des chevaux) enterrés vivants à côté d'un gardien de terre cuite. Enfin, de nombreux ouvriers y ont été enterrés vivants, soit pour que tout meure avec le décès de l'empereur, soit pour qu'ils ne révèlent jamais l'existence du mausolée.
Par la suite, ces lieux furent utilisés comme cimetière. On y a retrouvé de nombreuses dépouilles. Les premières statues ont été découvertes en mars 1974 par des paysans qui creusaient un puits. Le musée a ouvert au public le 1er octobre 1979.
Le musée se compose de trois puits et d'un bâtiment d'exposition des objets déterrés. Le puits n°1 est le plus grand. Il est très impressionnant par ses dimensions : 230×63 m, couvert comme un grand hangar, et il est possible d'en faire tout le tour. L'on est cependant un peu trop éloigné des statues pour pouvoir les admirer de manière détaillée. Les autres puits sont plus petits mais permettent de mieux comprendre l'agencement du complexe.
Mausolée de Qianling
Des 21 personnes ayant régné sur la Chine entre 618 et 907, 19 ont été enterrées autour de ce lieu. 18 sont des empereurs de la dynastie Tang et la 19ème est Wu Zetian, épouse de l'empereur Gaozong puis impératrice sous le nom d'« empereur Shengshen ». Le mausolée est situé sur le Mont Liang à environ 90 km au Nord-Ouest de Xi'an. La superficie totale regroupant les tombes est d'environ 40 km².
Tombes de Gaozong et Wu Zetian
La stèle de l'impératrice Wu Zetian est aussi appelée « tablette sans mot » car à l'origine, rien n'était gravé dessus (les inscriptions ont été rajoutées dans les dynasties suivantes). À son sommet sont représentés huit dragons. Monolithique, elle mesure 7,5 m de haut pour un poids d'environ 100 tonnes.
La stèle de l'empereur Gaozong, reconnaissable à son toit, est aussi appelée « stèle aux sept sections », car elle est composée de sept blocs de pierre, qui représentent les sept éléments traditionnels chinois : le Soleil, la Lune, le métal, le bois, l'eau, le feu et la terre.
Tombe de Yi De
Dans la région proche se trouve aussi le tombeau de Yi De, alias Li Chongrun, prince héritier, fils de l'empereur Zhongzong et petit-fils de l'impératrice Wu Zetian. S'opposant à l'autocratie de sa grand-mère, il a été condamné à se suicider, à l'âge de 19 ans. Ce n'est qu'après sa mort qu'il a été élevé au rang de prince héritier par son père.
Biographie de Wu Zetian
Concubine puis impératrice chinoise né en 625 à Xi'an (Chine) ; décédé 12 décembre 705 à Luoyang (Chine).
Elle fut d'abord une concubine de l'empereur Taizong puis de son fils l'empereur Gaozong. Ce dernier en fera sa femme, mais c'est elle qui contrôlera réellement le pouvoir pendant ces années. À la mort de Gaozong, en 683, elle a tout le pouvoir puis elle s'autoproclame empereur en 690. Elle prétend commencer sa propre dynastie, celle des Zhou, interrompant celle des Tang. Elle encourage le Bouddhisme et le Taoïsme et mène des politiques intérieure et extérieure fortes. Elle cesse de régner en 704 et son fils Zhongzong lui succède. Les historiens confucianistes la qualifieront d'« usurpatrice ». Elle ne fut pas la seule femme à régner sur la Chine. En effet, l'impératrice douairière Ci Xi exercera de fait le pouvoir de 1861 à 1908.
Temple Famen
Ce temple se situe à environ 100 km au Nord-Ouest de Xi'an. Il se compose de deux parties, l'une ancienne et l'autre extrêmement moderne.
Le temple historique
Ce temple fut construit initialement pendant la dynastie des Han orientaux et son importance a atteint son apogée pendant la dynastie Tang. Le but principal du temple et de son stūpa (tumulus) était d'abriter les reliques (sarira) du Bouddha. La crypte contenant les reliques a été ouverte en l'an 555. Un palais à 24 cours fut ensuite ajouté au temple pour honorer les reliques.
Pendant la dynastie Tang, la pagode était en bois et comprenait quatre étages. À cette époque, les reliques étaient extraites de la crypte tous les 30 ans et emportées au palais impérial de Chang'an pour y être honorées. La crypte comportait sept parties pour une longueur totale d'environ 20 m et une superficie de 30 m². Le dernier empereur à avoir pratiqué ces dévotions fut Yizong. Elle fut ensuite scellée pendant 1113 ans.
En effet, plus de 11 siècles plus tard, le 4 août 1981, une pluie importante a détruit la moitié de la pagode du temple, laissant l'autre moitié debout. En 1985, le gouvernement a décidé de raser ce qui restait de la pagode pour la reconstruire. Pendant la reconstruction des fondations, le 3 avril 1987 (le 8 avril, jour de l'anniversaire du Bouddha, selon le calendrier lunaire), la crypte fut ouverte par hasard et les reliques retrouvées ainsi que 2500 objets précieux qui l'accompagnaient. La crypte fut restaurée en 1988 et le musée du temple a ouvert le 9 novembre 1987 pour présenter ces collections.
Le nouveau temple
Le nouveau complexe a été inauguré en 2009. Ce qui surprend dès le départ est la taille démesurée de son portail d'entrée, que l'on pourrait comparer à celle d'un stade sportif. Ce portail s'ouvre sur une grande cour dotée de deux bassins que gardent des rangées de lions de pierre.
Cette cour débouche sur une esplanade immense, dépassant largement le kilomètre de long pour plusieurs centaines de mètres de large. Il est possible d'utiliser un petit train pour la parcourir dans les deux sens. Sur les côtés se trouvent dix statues bouddhistes dorées mesurant chacune une vingtaine de mètres de haut.
À l'extrémité de l'esplanade opposée à l'entrée se trouve l'immense pagode moderne, au style inédit, mesurant 148 m de haut et qui abrite des reliques du Bouddha. Ce bâtiment compte trois principaux étages.
Le rez-de-chaussée abrite cinq grandes statues : celles des divinités du Nord, du Sud, de l'Est et de l'Ouest et enfin une grosse statue du Bouddha, gras et rieur.
À l'étage se trouve une grande salle assez richement décorée où un reliquaire doré placé devant une grande statue du Bouddha contient un objet qui y est vénéré comme la relique de ce qui serait une phalange du Bouddha.
Enfin, au second étage, se trouve une grande salle de prière. Les visiteurs sont priés de mettre des sacs en plastique (fournis) autour de leurs chaussures avant d'entrer. À l'intérieur se trouve une grande statue dorée du Bouddha dont le socle, lui aussi complètement doré, par endroits mat et par endroits brillant, porte lui-même quatre sculptures moyennes, en bas-relief, et des dizaines de petites représentations du Bouddha.
Cette page en français a été créée par Peter à partir de notes de voyage, 31 mars 2010 et modifiée pour la dernière fois 25 août 2020. Son avancement est noté 3/3.