Lyon

Un exposé sur l'agglomération lyonnaise : sa culture, ses sites antiques, ses églises, ses musées...

    Parenté :
  1. Europe
  2. France
  3. Rhône-Alpes
  4. Lyon

Lyon

Géographie

La ville de Lyon est constituée de neuf arrondissements situés autour de la confluence de la Saône et du Rhône.

[Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Les rives du Rhône. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Lyon - Les rives du Rhône. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Lyon - Les rives du Rhône. [Cliquez pour agrandir : 71 Kio] Lyon - Les rives du Rhône. [Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Lyon - Les rives de la Saône. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - Les rives de la Saône. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - Les rives de la Saône. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Lyon - Les rives de la Saône.

La ville est bâtie sur trois collines principales : Fourvière, la Croix-Rousse et la Duchère. Depuis Fourvière, on peut admirer une très belle vue panoramique de la ville. Un des bâtiments les plus remarquables est la tour Part-Dieu, surnommée le « crayon » par les Lyonnais, en raison de sa forme.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - Vue générale : la colline de Fourvière et sa basilique au dessus de la Saône. [Cliquez pour agrandir : 151 Kio] Lyon - Vue générale depuis Fourvière : l'hôtel de ville et le théâtre national. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - Vue générale depuis Fourvière : la tour Part-Dieu. [Cliquez pour agrandir : 128 Kio] Lyon - Vue générale depuis Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 59 Kio] Lyon - Vue générale depuis la Croix-Rousse : la tour Part-Dieu. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Lyon - Vue générale depuis Fourvière : le quartier de Gerland et une zone industrielle.

Lyon : Vue générale panoramique depuis la basilique de Fourvière.

Le quartier du Gros-Caillou, sur la colline de la Croix-Rousse, offre une belle vue de la ville.

[Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - Le quartier du Gros-Caillou : le gros caillou. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Lyon - Le quartier du Gros-Caillou : vue de Lyon.

Culture

Guignol

La marionnette Guignol est originaire de Lyon, où elle fut inventée par Laurent Mourguet vers 1808.

[Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Lyon - Théâtre Guignol. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - Mini-théâtre Guignol. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : le théâtre Guignol. [Cliquez pour agrandir : 64 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : le théâtre Guignol. [Cliquez pour agrandir : 58 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : le théâtre Guignol. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : le théâtre Guignol.

La fête des lumières

La fête des lumières a lieu le 8 décembre. Les habitants de Lyon illuminent leurs fenêtres de nombreuses veilleuses. Beaucoup d'animations sont organisées et les bâtiments publics sont illuminés.

Gastronomie

La gastronomie lyonnaise est réputée. On peut citer notamment les quenelles, la cervelle de canut (sorte de fromage blanc assaisonné) et les pralines (dont on fait des tartes). On peut la déguster dans les « bouchons », nom des restaurants traditionnels. Une association décerne un label d'authenticité aux bouchons les plus typiques.

[Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Lyon - Bouchon. [Cliquez pour agrandir : 59 Kio] Lyon - Cervelle de canut. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Lyon - Tarte à la praline.

Les canuts

Les canuts étaient les ouvriers tisserands de Lyon, au XIXe siècle, rendus célèbres par plusieurs insurrections en raison de leurs conditions de travail difficiles, qui furent parmi les premiers mouvements sociaux en France.

Les canuts tissaient la soie, grâce à des machines à tisser semi-automatiques (fonctionnant avec des cartes perforées), dont l'invention est due à Joseph Marie Jacquard. Celui-ci, surnommé depuis « bienfaiteur des ouvriers de la soie » est représenté en statue dans le quartier de la Croix-Rousse.

[Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La statue de Joseph Marie Jacquard. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Lyon - La statue de Joseph Marie Jacquard.

Les traboules

Les traboules sont des sortes de raccourcis, souvent privés, constitués de passages couverts ou de cours intérieures, entre deux ou plusieurs rues. On en dénombre plusieurs centaines à Lyon, mais toutes ne sont pas ouvertes au public.

Certaines forment des dédales, parfois avec des escaliers, et sont utilisées quotidiennement par les habitants. Elles ont aussi eu un rôle historique, en permettant aux canuts de s'éclipser pendant les insurrections et aux résistants de se cacher pendant la seconde guerre mondiale.

La cour des Voraces, restaurée en 1995, est une des traboules les plus connues. Elle a trois entrées et doit son nom à une société qui s'y est formée, pour promouvoir un nouvel ordre social et qui a ainsi participé à des émeutes et à la révolution française de 1848.

[Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - Les traboules : l'escalier des Voraces. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Lyon - Les traboules : l'escalier des Voraces. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Lyon - Les traboules. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - Les traboules : la cour du Crible. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Les traboules : la cour du Crible. [Cliquez pour agrandir : 82 Kio] Lyon - Les traboules : la cour du Crible. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Lyon - Les traboules : la cour du Crible. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Lyon - Les traboules. [Cliquez pour agrandir : 61 Kio] Lyon - Les traboules. [Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Lyon - Les traboules. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Les traboules.

Les murs peints

À Lyon se trouvent plusieurs murs peints en trompe-l'œil. Ils représentent des personnages à leurs fenêtres. Le mur des Lyonnais montre ainsi de nombreux personnages historiques liés à la ville.

[Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Lyon - Le mur peint des Canuts. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Lyon - Le mur peint des Lyonnais. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Lyon - Le mur peint des Lyonnais. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - Le mur peint des Lyonnais. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - Le mur peint « la bibliothèque de la cité ». [Cliquez pour agrandir : 54 Kio] Lyon - Le mur peint des Lyonnais : Laurent Mourguet et Guignol. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Lyon - Le mur peint des Lyonnais : Antoine de Saint-Exupéry et le Petit Prince. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - Mur peint futuriste.

Les Madones

Lyon comptait autrefois quatre-cents statuettes de la Vierge Marie sur les façades de ses maisons et immeubles, souvent à l'angle de deux rues. Elles datent de 1640-1680 pour une part, 1850-1860 pour les autres. Il en reste encore deux-cents et une association protège de patrimoine.

La cathédrale Saint-Jean

En ce lieu se tient une église depuis le IVe siècle. Celle-ci est transformée en cathédrale au XIIe siècle.

Depuis 1079, l'archevêque de Lyon est appelé « Primat des Gaules », titre honorifique rappelant l'importance historique de l'archevêché.

[Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la façade. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la façade. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le clocher et l'abside. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge extérieure.

Le bâtiment

La cathédrale, construite de 1180 à 1480, possède une architecture constituée d'un mélange des styles gothique et roman. Elle dispose de deux orgues, situés face à face, à chacune des extrémités du transept.

[Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la nef. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le transept. [Cliquez pour agrandir : 91 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le transept. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : statue de la Vierge dans le transept. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le transept et le chœur. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : chapelle. [Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : chapelle. [Cliquez pour agrandir : 58 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : autel et reliquaires. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la nef. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la cathèdre. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la cathèdre : détail. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'autel du Saint Sacrement. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'autel du Saint Sacrement : détail.

Les vitraux

La rose du transept Sud raconte en parallèle l'histoire d'Adam (par laquelle l'humanité meurt : création d'Adam, création d'Ève, pêché originel, exclusion du Paradis, l'homme doit travailler) et celle du Christ (par laquelle l'humanité revit : Annonciation, Nativité, hommage des Rois-Mages, Crucifixion, Résurrection), chacune en cinq médaillons. Le médaillon inférieur représente le Christ tirant Adam de la mort et le médaillon supérieur montre le Christ en gloire.

La rose du transept Nord, du XIIIe siècle, représente l'opposition entre les bons et les mauvais anges, en particulier entre Saint Michel et Lucifer. Au centre se trouve une allégorie de l'Église : une femme tenant le calice de l'Eucharistie et une bannière dont la hampe se termine par une croix.

L'édifice comporte encore deux roses, l'une sur la façade, l'autre dans le chœur.

Le vitrail central du chœur raconte la vie du Christ en sept médaillons : Annonciation, Nativité, Crucifixion, Résurrection, Ascension ×2, Christ en gloire. Celui de gauche présente la vie de Saint-Étienne et celui de droite la vie de Saint Jean-Baptiste. Tous trois se lisent de bas en haut.

[Cliquez pour agrandir : 138 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la rose du transept Sud, représentant le Christ et Adam. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la rose du transept Nord, représentant les bons et les mauvais anges. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la rose de la façade. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la rose du chœur. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : les vitraux du chœur. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : les vitraux du chœur. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : vitrail. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : vitrail. [Cliquez pour agrandir : 127 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : vitrail.

L'horloge astronomique

Elle existe au moins depuis le XIVe siècle, et la majeure partie de son mécanisme est d'origine. Elle fournit un calendrier perpétuel, les dates des fêtes mobiles, le nombre d'or et la position de la Terre, du Soleil, de la Lune et de certaines étoiles.

Lors de la sonnerie, composée à partir d'un hymne du XIXe siècle de Paul Diacre, le « Ut queant laxis », 19 personnages bibliques se mettent en mouvement.

[Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : partie haute. [Cliquez pour agrandir : 130 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : cadran haut. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : cadran bas. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : détail du cadran bas. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : les personnages. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : le coq. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : l'horloge astronomique : vue générale.

Le trésor

La cathédrale possède un trésor qui s'est constitué et dispersé tout au long des siècles. Pillé en 1562 par les calvinistes, fondu sous Louis XIV et Louis XV, il s'est de nouveau reconstitué au XIXe siècle.

De nos jours, il contient des objets remarquablement ornés et ouvragés, souvent à rôle liturgique, comme des chasubles, étoles, encensoirs, ostensoirs, reliquaires, bibles, ciboires, calices, patènes, burettes, pales, manipules, chapes ainsi que des tentures et tapisseries.

[Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : la salle du trésor. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : le reliquaire de Sainte Thérèse d'Avila. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : crosse. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : crosse. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : éléments. [Cliquez pour agrandir : 72 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : relique de la vraie Croix et calice. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Lyon - La cathédrale Saint-Jean : le trésor : explication sur la fabrication des dorures.

La basilique de Fourvière

La basilique Notre-Dame-de-Fourvière est située sur la colline de Fourvière. Elle est impressionnante par sa taille (66 mètres de long, 19 de large et 27 mètres de hauteur sous voûte) et par la beauté de ses décorations intérieures et des bas-reliefs de sa façade.

Elle est accessible par des chemins pentus et ombragés, ou plus facilement par un funiculaire.

[Cliquez pour agrandir : 39 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 51 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 49 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : vue générale au coucher du Soleil.

Les origines

La colline de Fourvière a toujours constitué un lieu de prière, d'abord des Gaulois qui dédiaient ce lieu au dieu Lug (d'où le nom de la ville : Lugdunum) puis des romains qui y ont fait un forum.

En 1164, une première chapelle, dédiée à Marie, y est construite. Elle sera totalement détruite puis reconstruite du XVe siècle au XVIIe siècle.

En 1852, son clocher s'effondre. Il est ensuite reconstruit et on lui ajoute une Vierge de 5,5 mètres de haut. Le 8 décembre 1852, les Lyonnais ne pouvant apporter leurs lumières à la chapelle, pour cause d'orage, ils ont l'idée de les mettre à leurs fenêtres, d'où l'origine de la Fête des lumières.

Les vœux

En tout, quatre vœux furent prononcés dans la chapelle, et exaucés par Marie. Les diverses constructions et œuvres d'art furent alors créées en remerciement :

La construction

Elle a commencé en 1872 et s'est arrêtée en 1964, mais elle n'est toujours pas finie, faute de financements. Les fonds nécessaires furent intégralement donnés par les Lyonnais : l'intérieur de la basilique fut découpé en petites parcelles, et les donateurs savaient à quelle partie ou œuvre ils contribuaient.
La basilique est la propriété d'une fondation. Elle appartient donc aux Lyonnais et pas à l'État, ni à l'Église. Aujourd'hui, ce sont encore les dons des Lyonnais qui permettent son entretien.

L'architecte Bossan l'a voulue bâtie comme un château fort, avec quatre tours symbolisant les quatre vertus cardinales (force, justice, tempérance, prudence), des crénaux, des machicoulis... La croix en façade est posée en 1884.

Bossan avait imaginé la basilique bien avant le début du projet. Pour la réalisation, il s'est associé à Sainte Marie Perrin (à qui l'on doit les portes de bronze et les représentations des hérésies et des pêchés capitaux).

L'extérieur

Sous le fronton se trouvent huit anges armés, en symbole de résistance face au mal. Le triangle du fronton représente la Trinité ; la Vierge accueille les pèlerins. La présence des archanges Raphaël (guérisseur) et Michel (chef des milices célestes) rappelle les vœux.

On peut également y voir le tétramorphe (représentation des quatre évangélistes sous forme de créatures ailées) ainsi que trois anges surmontant un arc-en-ciel coloré qui lie le Ciel et la Terre.

Marie est entourée d'Adam et Ève, qu'elle libère. Autour d'elle se situe la « frise de la sainteté » où sont représentés les saints et bienheureux de Lyon et de sa région, en particulier le Saint Curé d'Ars, Pauline Jaricot, Saint Vincent de Paul et le Père Antoine Chevrier.

Enfin, en bas de la façade se situe le lion de Juda, au-dessus de l'escalier menant à l'église basse, dédiée à Saint Joseph. Les portes présentent deux anges, l'un portant l'arche d'Alliance et l'autre, l'arche de Noé.

[Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur : le lion de Juda. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur : le lion de Juda. [Cliquez pour agrandir : 36 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur : l'archange Saint Michel. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'extérieur : statue du bienheureux Pape Jean-Paul II.

L'église haute

Ce qui frappe en entrant dans l'église haute, dédiée à la Vierge Marie, est l'abondance de décorations, de sculptures et de dorures, placées entre les mosaïques. À titre d'exemple, la basilique compte 50 m² de mosaïques et 10 000 tesselles par mosaïque !

Le plan intérieur correspond à celui d'une basilique, bâtiment romain avec une forme rectangulaire et pas de transept. « Basilique » est aussi un titre donné par le Pape aux lieux de pèlerinage comme celui-ci.

On peut distinguer plusieurs styles :

Les huit chapelles latérales montrent des épisodes de la vie de Marie et les anges qui sont représentés ont toujours un rapport avec le thème :

[Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : la naissance de Marie. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : la Présentation de Marie au Temple. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : l'Annonciation. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : la Visitation. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : les Noces de Cana. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : la Crucifixion. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : la Pentecôte. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : chapelle latérale : l'Assomption.

Les six mosaïques témoignent du rôle de Marie, dans l'histoire de France et du monde :

[Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant l'arrivée de Saint-Pothin à Lyon. [Cliquez pour agrandir : 104 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant le concile d'Éphèse. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant l'entrée de Jeanne-d'Arc à Orléans. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant la bataille de Lépante. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant la consécration de la France à Marie par Louis XIII. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : mosaïque représentant la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception.

Les six vitraux représentent les litanies de Marie au Ciel. Ils sont chacun surmontés d'une étoile à 7 branches. Ils représentent :

[Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des Patriarches. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des martyrs. [Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des anges. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des Apôtres. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des confesseurs. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des prophètes. [Cliquez pour agrandir : 143 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail de Marie, reine des Patriarches : détail. [Cliquez pour agrandir : 126 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : vitrail en forme d'étoile à sept branches.

Les trois coupoles détaillent les trois liens de Marie avec la Trinité : comme fille de Dieu, mère du Christ et épouse du Saint-Esprit.

L'Ascension est aussi représentée, avec des anges, des oiseaux et des aigles portant les paroles du Magnificat.

Dans le chœur, la Vierge, accompagnée de son Fils, terrasse les hérésies (comme le naturalisme, représenté par un ver de terre). Entouré de Saint Michel, du Saint-Esprit et de ses sept dons, Jésus bénit à la manière juive, la statue ayant été offerte par un Juif converti. Le chœur comporte également 7 vitraux de 8 m représentant 28 saintes.

[Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur : vitraux. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur : détail d'un vitrail. [Cliquez pour agrandir : 121 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le chœur : l'autel.

Au fond de l'église, au-dessus de la porte, les quatre anges musiciens surmontent le grand tableau (5,85 m × 4,25 m) réalisé de 1833 à 1850, après le vœu contre le choléra, et installé dans la basilique en 1891. Le blason de Lyon est modifié : le lion tient une épée, symbole monarchique. Le tableau montre Saint Pothin, Saint Jean-Baptiste, Saint Irénée et Sainte Blandine, autour du Christ enfant porté par Marie. La Vierge protège de son manteau une jeune fille, allégorie de la ville de Lyon. Les autres symboles sont la mort avec sa faux, la révolte des Canuts et un homme symbolisant le choléra avec une coupe de poison à la main, renversée par le glaive d'un ange. Un grand lion, symbole de la ville, lèche ses plaies.

Les autres symboles utilisés sont l'étoile à 8 branches (8 basculé donne ∞ soit l'infini) ou à 7 branches, symbole de perfection (les quatre points cardinaux plus la Trinité).

[Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : la nef. [Cliquez pour agrandir : 134 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : la nef. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : le plafond. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : détail du plafond. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : la nef. [Cliquez pour agrandir : 119 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : l'entrée. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : l'orgue. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : la chaire. [Cliquez pour agrandir : 136 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : détail d'un pilier. [Cliquez pour agrandir : 139 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église haute : la nef.

L'église basse

En prenant l'escalier d'accès à l'église basse depuis l'intérieur de l'église haute, on peut voir l'ange de la sagesse (qui a quatre ailes, c'est donc un chérubin), une représentation de l'Agneau et une d'une poule protégeant ses poussins. Ce dernier bas-relief, plutôt rare dans une église, fait référence aux évangiles de Matthieu (Mt 23 37) et Luc (Lc 13 34) : Jésus parle de rassembler les enfants de Jérusalem comme un poule rassemble ses poussins sous ses ailes.

Cette église, dédiée à Saint Joseph, n'est pas achevée : seul le chœur est terminé, mais il est peu probable que les travaux reprennent. Mesurant 9 mètres sous voûtes, elle devait être pourvue d'un décor égyptien et reliée à Lyon par un escalier de 800 marches. Mais l'ouverture du funiculaire en 1882 a modifié les projets.

Sont représentés des anges moissonneurs et vendangeurs, les anges des béatitudes et la mort de Joseph (à qui ont été donnés les traits de Bossan). Les anges sont roses (ceux de l'église haute sont bleus).

Dans le chœur, Saint Joseph terrasse les sept pêchés capitaux, représentés en mosaïque autour de la statue.

Des scènes de la vie de Joseph devaient être réalisées, mais ont finalement été remplacées par des Vierges de nombreux pays et par des ex-voto.

[Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : le chérubin. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : la poule et ses poussins. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : le chœur : la statue de Saint Joseph. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : statue de la Naval de Manille. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : l'église basse : la chapelle des fidèles défunts.

La chapelle

La chapelle située à côté de la basilique date de 1168, mais sera détruite et rebâtie plusieurs fois jusqu'en 1740 et restaurée en 2008.

On y trouve également le musée d'art religieux de Fourvière. Celui-ci possède de magnifiques collections d'objets religieux. Il possédait notamment une couronne en or de quatre kilos portant 1791 pierres précieuses, offertes par les Lyonnais après la guerre de 1870, en remerciement à la Vierge du retour en bonne santé des hommes de leurs familles. Cette couronne a été volée entre le 12 et le 13 mai 2017.

[Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : vitrail représentant le vœu des échevins. [Cliquez pour agrandir : 61 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 48 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : la statue de la Vierge de face. [Cliquez pour agrandir : 46 Kio] Lyon - La basilique Notre-Dame-de-Fourvière : la chapelle : la statue de la Vierge de dos.

Le parc de la Tête-d'Or

Cet immense parc de 116 ha est situé dans le centre-ville, sur la rive gauche du Rhône.

[Cliquez pour agrandir : 135 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : grille d'entrée. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : grille d'entrée : détail. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : massif floral. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : plan d'eau. [Cliquez pour agrandir : 114 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : bâtiment. [Cliquez pour agrandir : 122 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : serres. [Cliquez pour agrandir : 184 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : intérieur d'une serre. [Cliquez pour agrandir : 165 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : intérieur d'une serre.

En plus de son lac, il contient le plus grand ensemble de serres de France, qui abrite près de 6000 plantes. De nombreuses espèces animales y vivent naturellement.

[Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : écrevisse. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : grenouille rainette. [Cliquez pour agrandir : 122 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : écureuil roux. [Cliquez pour agrandir : 62 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : grive. [Cliquez pour agrandir : 197 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : arbres. [Cliquez pour agrandir : 184 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : graminées.

Son parc zoologique compte environ 130 animaux, dont certains sont rares.

[Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : serval. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : panthère de l'Amour. [Cliquez pour agrandir : 140 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : éléphant d'Asie. [Cliquez pour agrandir : 115 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : éléphants d'Asie. [Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : éléphant d'Asie. [Cliquez pour agrandir : 154 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : ours à lunettes. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : crocodile. [Cliquez pour agrandir : 148 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : flamands roses. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : girafe. [Cliquez pour agrandir : 142 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : girafes. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : tortue. [Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : tortue. [Cliquez pour agrandir : 111 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : héron. [Cliquez pour agrandir : 145 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : girafes. [Cliquez pour agrandir : 129 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : zébus « watusi ». [Cliquez pour agrandir : 144 Kio] Lyon - Le parc de la Tête-d'Or : daim.

Les églises

L'église Saint-Bonaventure

[Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : la façade. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : la façade. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : la porte. [Cliquez pour agrandir : 106 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : la nef. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : l'autel de Saint Joseph. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : bas-relief représentant la mort de Joseph. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : l'autel de la Vierge. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : l'entrée et la rose. [Cliquez pour agrandir : 95 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : la rose. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant le baptême de Clovis par Saint Rémy. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant l'Ascension. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant la vie de Jésus. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant la vie de Jésus. [Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant l'Annonciation. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Lyon - L'église Saint-Bonaventure : vitrail représentant un blason.

L'église Saint-Just

[Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Lyon - L'église Saint-Just : la façade.

L'église Saint-Georges

[Cliquez pour agrandir : 67 Kio] Lyon - L'église Saint-Georges : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 65 Kio] Lyon - L'église Saint-Georges : l'extérieur.

L'église Saint-Antoine

C'est une église moderne située dans le quartier de Gerland.

[Cliquez pour agrandir : 68 Kio] Lyon - L'église Saint-Antoine : la façade. [Cliquez pour agrandir : 71 Kio] Lyon - L'église Saint-Antoine : la façade. [Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - L'église Saint-Antoine : la nef.

L'église Saint-Bernard

[Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - L'église Saint-Bernard : l'extérieur.

L'église Saint-Polycarpe

[Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - L'église Saint-Polycarpe : la façade. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - L'église Saint-Polycarpe : la porte.

L'église du Bon-Pasteur

[Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - L'église du Bon-Pasteur : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Lyon - L'église du Bon-Pasteur : l'extérieur.

L'église Notre-Dame-Saint-Vincent

[Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Lyon - L'église Notre-Dame-Saint-Vincent : la façade. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - L'église Notre-Dame-Saint-Vincent : détail de la façade.

L'église Saint-Nizier

[Cliquez pour agrandir : 108 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : la façade. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : détail de la façade. [Cliquez pour agrandir : 126 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : détail de la façade.

[Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : la nef. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : le chœur. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : l'entrée et l'orgue. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : l'orgue. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : l'orgue. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : chaire. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : chaire. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : l'autel de la Vierge. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : statue de la Vierge à l'Enfant. [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : l'autel du Sacré-Cœur. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : statue de Saint Paul. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : statue de Saint Pierre.

[Cliquez pour agrandir : 146 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : rose représentant le couronnement de la Vierge. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie d'un saint. [Cliquez pour agrandir : 118 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie d'un saint. [Cliquez pour agrandir : 96 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie d'un saint : détail. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie d'un saint : détail. [Cliquez pour agrandir : 69 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie de Jésus. [Cliquez pour agrandir : 46 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie de Jésus. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - L'église Saint-Nizier : vitrail représentant la vie de Jésus.

L'église Saint-Pierre

La façade de cette église est très surprenante, car elle est minuscule et semble comme coincée entre deux bâtiments.

Construite au XIIe siècle, elle appartenait auparavant à l'abbaye bénédictine des Dames de Saint Pierre. Elle fut modifiée de manière importante en 1679, 1744 et 1822.

En 1907, elle est désaffectée et attribuée au musée des Beaux-Arts, dont elle constitue actuellement une salle d'exposition, inaugurée en 1934.

[Cliquez pour agrandir : 59 Kio] Lyon - L'église Saint-Pierre : le clocher. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - L'église Saint-Pierre : la façade.

L'église Sainte-Croix

Dans cette église ont régulièrement lieu des soirées de prière animées par le groupe de rock chrétien Glorious, originaire de Lyon. Ces soirées mêlent chants de louange dynamiques et périodes de méditation et d'adoration soutenues par la musique.

[Cliquez pour agrandir : 71 Kio] Lyon - L'église Sainte-Croix : l'autel et le chœur.

L'église Saint-Paul

Sa construction remonte au IXe siècle et elle comporte des chapelles du XVe siècle, un clocher et un portail du XIXe siècle. Elle est de style roman et sa coupole est octogonale.

[Cliquez pour agrandir : 67 Kio] Lyon - L'église Saint-Paul : l'extérieur. [Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Lyon - L'église Saint-Paul : détail de la façade.

Les vestiges antiques

Lyon est une ville très ancienne qui compte de nombreuses ruines gallo-romaines.

Site de Fourvière

Il fait partie du centre historique de Lugdunum, qui s'étendait sur 300 hectares des collines de Fourvière et de la Croix-Rousse. Les ruines datent du Ie siècle avant Jésus-Christ au IIIe siècle. Les vestiges encore visibles à cet endroit sont entre autres un théâtre, des termes, un temple, le forum et un amphithéâtre. Ces ruines ont inspiré des artistes de la Renaissance qui les ont représentées.

Un des éléments remarquables est un large pavage des IIe et IIIe siècles réalisé avec des marbres provenant de cinq lieux différents autour de la Méditerranée, ce qui le rend magnifique, mais extraordinairement coûteux.

[Cliquez pour agrandir : 132 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 129 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 148 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière et son pavage de marbres de la Méditerranée. [Cliquez pour agrandir : 136 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 139 Kio] Lyon - Théâtre antique à Fourvière.

L'amphithéâtre des Trois-Gaules

C'est dans ce théâtre que Sainte Blandine est morte martyre, en l'an 177. Les lions ayant refusé de la toucher, elle est torturée et achevée par le glaive. Elle est à présent la patronne de Lyon.

Le théâtre, construit en l'an -12, fut agrandi sous l'empereur Hadrien. Jusqu'à vingt mille personnes ont pu s'y rassembler. Son nom vient du fait qu'il servait de lieu de rassemblement annuel aux représentants des soixante-quatre nations des trois Gaules impériales (la Gaule lyonnaise, la Gaule aquitaine et la Gaule belgique) dont Lugdunum était la capitale.

[Cliquez pour agrandir : 125 Kio] Lyon - L'amphithéâtre des Trois-Gaules. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - L'amphithéâtre des Trois-Gaules. [Cliquez pour agrandir : 127 Kio] Lyon - L'amphithéâtre des Trois-Gaules.

Les musées

La maison de Pauline Jaricot

Cette maison, nommée Lorette, située au pied de la basilique de Fourvière, fut celle de Pauline Jaricot à partir de 1832 et appartient aux Œuvres Pontificales Missionnaires depuis 1975. Elle fut construite en 1520 sur une ancienne voie romaine et agrandie au XVIIIe siècle. En 1839, Pauline Jaricot fit construire la chapelle Sainte-Philomène, suite à sa guérison de 1836. Inscrite aux monuments historiques en 2003, la maison est restaurée de 2002 à 2005.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : portrait de Pauline Jaricot.

Biographie de Pauline Jaricot

Vénérable catholique né 22 juillet 1799 à Lyon ; décédé 9 janvier 1862 à Lyon.

Pauline Jaricot naît de parents aisés, plieurs et vendeurs de soie aux Terreaux et a quatre frères et sœurs. Victime d'une chute, elle tombe malade et sa mère, dans un vœu, offre sa vie pour sa guérison. Le vœu est exaucé et Pauline se retrouve orpheline de mère. Elle fait vœu de chasteté de corps et d'esprit et fonde à 19 ans les « Réparatrices du Cœur de Jésus méconnu et méprisé ». En 1822, elle crée la « Propagation de la foi » une œuvre apostolique d'aide aux missions puis, en 1826, le « Rosaire vivant », de portée internationale (2 millions d'adhérents à sa mort). Après une guérison miraculeuse à Rome et l'approbation de ses œuvres par le Pape, elle rentre à Lyon et défend les ouvriers. Trahie et escroquée, elle meurt dans l'indifférence générale. Elle est déclarée vénérable en 1963.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : portrait de Pauline Jaricot. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 55 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : reliques de martyrs. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 50 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : fenêtre. [Cliquez pour agrandir : 41 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : statues de la Vierge. [Cliquez pour agrandir : 47 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : chambre à coucher. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : chambre à coucher. [Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : chambre à coucher. [Cliquez pour agrandir : 84 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : chambre à coucher. [Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : la chapelle Sainte-Philomène. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - La maison de Pauline Jaricot : la chapelle Sainte-Philomène : reliques de Saint Pierre Tuy.

Le musée des Beaux-Arts

Rénové entre 1990 et 1998, il a pris place dans l'ancienne abbaye des Bénédictines, datant du XVIIe siècle. Sa bibliothèque compte plus de 40 000 ouvrages.

Le musée présente des antiquités égyptiennes, gréco-romaines et du Moyen-Orient, des œuvres du Moyen-Âge et de nombreuses peintures datant du XVIIe siècle au XIXe siècle.

[Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : la façade. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : la porte. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : la cour intérieure. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : la cour intérieure. [Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : salle. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : salle. [Cliquez pour agrandir : 72 Kio] Lyon - Le musée des Beaux-Arts : salle.

Le musée des miniatures

Il présente divers dioramas ainsi que diverses techniques cinématographiques. On peut notamment y voir un C-3PO grandeur nature qui ravit les amateurs de Star Wars.

[Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Lyon - Le musée des miniatures. [Cliquez pour agrandir : 77 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : diorama. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : diorama. [Cliquez pour agrandir : 101 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : diorama. [Cliquez pour agrandir : 80 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : diorama. [Cliquez pour agrandir : 89 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : diorama. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : C-3PO. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : C-3PO. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - Le musée des miniatures : i-Robot.

Le musée Lumière

Situé dans le quartier Monplaisir, ce musée est hébergé dans la villa Lumière, créée en 1902 par Antoine Lumière, le père de Louis (1864-1948) et Auguste (1862-1954) Lumière qui ont inventé le cinématographe en ce lieu en 1895 (brevet déposé le 13 février, première représentation privée le 22 mars, première représentation publique le 28 décembre). Cette villa, habitée par Auguste Lumière jusqu'en 1911, fut utilisée par la société Lumière jusque dans les années 1960. L'institut Lumière comprend la villa et la parc situés sur le site des usines Lumière. Un des tout premiers films, La sortie des usines Lumière, montre d'ailleurs ce hangar, classé monument historique en 1995.

[Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : monument aux frères Lumière. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : maquette. [Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : maquette. [Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : décor intérieur. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : décor intérieur. [Cliquez pour agrandir : 73 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : buste de Joséphine Costille, épouse d'Antoine Lumière. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : décor intérieur. [Cliquez pour agrandir : 94 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : costume d'académicien d'Antoine Lumière. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : chambre. [Cliquez pour agrandir : 67 Kio] Lyon - Le musée Lumière : la villa Lumière : décor intérieur.

Avant d'inventer le cinématographe, les Lumière ont d'abord perfectionné, comme de nombreux inventeurs, les techniques de la photographie (inventée par Nicéphore Niepce en 1826). Les plaques photographiques Étiquettes bleues ont ainsi fait leur fortune à l'âge de 20 ans. Ils se sont également intéressés aux inventions médicales comme la tulle grasse et les prothèses. Dans les années suivant l'invention du cinématographe, ils ont préféré garder la maîtrise de l'exploitation en formant et envoyant eux-mêmes des opérateurs partout dans le monde, comme Gabriel Veyre.

[Cliquez pour agrandir : 81 Kio] Lyon - Le musée Lumière : maquette des usines Lumière. [Cliquez pour agrandir : 64 Kio] Lyon - Le musée Lumière : lanterne magique. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Lyon - Le musée Lumière : roue animée. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - Le musée Lumière : lanterne magique. [Cliquez pour agrandir : 88 Kio] Lyon - Le musée Lumière : fusil photographique (Marey, 1882, réplique). [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - Le musée Lumière : le cinématographe n°1. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - Le musée Lumière : projecteurs Gaumont (1897) et Pathé (1902). [Cliquez pour agrandir : 49 Kio] Lyon - Le musée Lumière : Périphote Lumière (1901, prise de clichés panoramiques). [Cliquez pour agrandir : 86 Kio] Lyon - Le musée Lumière : lamineuses pour plaques autochromes (1903). [Cliquez pour agrandir : 49 Kio] Lyon - Le musée Lumière : Gramophone avec diaphragme en papier plissé (vers 1920).

Autres lieux d'intérêt

Lyon possède un très riche patrimoine culturel et architectural, présenté dans les sections ci-dessous.

[Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Lyon - Le monument aux morts. [Cliquez pour agrandir : 125 Kio] Lyon - L'opéra national. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Lyon - Le passage de l'Argue. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - La place de la République. [Cliquez pour agrandir : 42 Kio] Lyon - La tour métallique de Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - Le théâtre des Célestins. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - La place des Jacobins. [Cliquez pour agrandir : 85 Kio] Lyon - La maison des avocats. [Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Lyon - Croix en fer forgé à Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Lyon - La maison Thomassin. [Cliquez pour agrandir : 110 Kio] Lyon - La maison Thomassin. [Cliquez pour agrandir : 109 Kio] Lyon - Façade décorée dans une ruelle. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - Façade décorée dans une ruelle. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - Le temple du Change.

La place Bellecour

Il s'agit de la troisième plus grande place de France et de la plus grande place piétonne d'Europe. On y trouve entre autres une statue équestre de Louis XIV.

[Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Lyon - La place Bellecour : statue de Louis XIV. [Cliquez pour agrandir : 63 Kio] Lyon - La place Bellecour : tour. [Cliquez pour agrandir : 164 Kio] Lyon - La place Bellecour vue depuis Fourvière.

La fontaine Bartholdi

Cette fontaine, à présent monument historique, fut réalisée par Frédéric Bartholdi, l'auteur de la statue de la Liberté, en 1888 et présentée à l'Exposition universelle de Paris de 1889. La ville de Lyon l'a rachetée et installée place des Terreaux en 1892.

[Cliquez pour agrandir : 132 Kio] Lyon - La fontaine Bartholdi. [Cliquez pour agrandir : 112 Kio] Lyon - La fontaine Bartholdi vue du musée des Beaux-Arts. [Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - La fontaine Bartholdi : cheval écumant. [Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La fontaine Bartholdi : cheval écumant.

Le palais du commerce

Aussi appelé « palais de la bourse », il fut inauguré par Napoléon III le 25 août 1860 et abrite la Chambre du Commerce et de l'Industrie de Lyon.

[Cliquez pour agrandir : 124 Kio] Lyon - Le palais du commerce. [Cliquez pour agrandir : 137 Kio] Lyon - Le palais du commerce. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - Le palais du commerce : détail de la façade.

L'hôtel de ville

Il fut construit de 1645 à 1651 et se situe entre la place des Terreaux et celle de la Comédie. Il dispose d'un beffroi qui contient un carillon et comporte un bas-relief représentant Henri IV.

[Cliquez pour agrandir : 105 Kio] Lyon - L'hôtel de ville. [Cliquez pour agrandir : 107 Kio] Lyon - L'hôtel de ville. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Lyon - L'hôtel de ville : la tour. [Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - L'hôtel de ville : bas relief représentant Henri IV. [Cliquez pour agrandir : 98 Kio] Lyon - L'hôtel de ville. [Cliquez pour agrandir : 70 Kio] Lyon - L'hôtel de ville.

Les transports

La gare Saint-Paul

La gare Saint-Paul de Lyon, ouverte en 1876, sert actuellement à la desserte de la banlieue Ouest de la ville.

[Cliquez pour agrandir : 93 Kio] Lyon - La gare Saint-Paul.

La gare de Part-Dieu

La gare de Part-Dieu, ouverte en 1983, relie Lyon aux autres grandes villes de France (notamment Paris et Marseille) et d'Europe (notamment Bruxelles).

[Cliquez pour agrandir : 100 Kio] Lyon - La gare Part-Dieu.

La gare de Perrache

La gare de Perrache, ouverte en 1857, sert au trafic national de voyageurs par TGV et grandes lignes (mais dans une moindre importance que la gare de Part-Dieu), au trafic régional par TER et à l'interconnexion des transports urbains (métro, tramways et bus).

[Cliquez pour agrandir : 99 Kio] Lyon - La gare Perrache : vue générale. [Cliquez pour agrandir : 120 Kio] Lyon - La gare Perrache : l'intérieur. [Cliquez pour agrandir : 136 Kio] Lyon - La gare Perrache : TER. [Cliquez pour agrandir : 116 Kio] Lyon - La gare Perrache : TER. [Cliquez pour agrandir : 139 Kio] Lyon - La gare Perrache : les voies.

Le métro

En 2012, le métro de Lyon comporte quatre lignes et 42 stations. En service depuis 1974, il transporte environ 700 000 personnes par jour.

[Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Lyon - Le métro. [Cliquez pour agrandir : 74 Kio] Lyon - Le métro. [Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Lyon - Le métro.

Le tramway

Ce tramway est en service depuis janvier 2001. En 2012, il comporte 5 lignes, 84 stations et transporte presque 250 000 voyageurs par jour.

[Cliquez pour agrandir : 87 Kio] Lyon - Tramway. [Cliquez pour agrandir : 113 Kio] Lyon - Tramway.

Autres

Lyon dispose d'un réseau de bus et de trolleys. De plus, des vélos appelés Vélo'V peuvent être loués grâce à un système équivalent au Vélib de Paris.

[Cliquez pour agrandir : 133 Kio] Lyon - Trolley. [Cliquez pour agrandir : 102 Kio] Lyon - Vélo'V.

Lyon possède deux funiculaires, qui relient la cathédrale à Fourvière d'une part et à Saint-Just d'autre part.

[Cliquez pour agrandir : 103 Kio] Lyon - Le funiculaire de Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 79 Kio] Lyon - Le funiculaire de Saint-Just. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Lyon - Le funiculaire de Fourvière. [Cliquez pour agrandir : 123 Kio] Lyon - Le funiculaire de Fourvière : machinerie. [Cliquez pour agrandir : 90 Kio] Lyon - Le funiculaire de Fourvière : machinerie.

Villeurbanne

La ville est située sur la rive gauche du Rhône et de part et d'autre du canal de Jonage.

Le théâtre national populaire est situé en face de l'hôtel de ville reconnaissable à sa tour carrée blanche. Non-loin de là se trouvent deux tours jumelles faisant partie d'un ensemble appelé les « Gratte-Ciel ».

[Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Villeurbanne - L'hôtel de ville. [Cliquez pour agrandir : 66 Kio] Villeurbanne - L'hôtel de ville. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Villeurbanne - Le théâtre national populaire. [Cliquez pour agrandir : 97 Kio] Villeurbanne - Les gratte-ciel. [Cliquez pour agrandir : 76 Kio] Villeurbanne - Les gratte-ciel. [Cliquez pour agrandir : 41 Kio] Villeurbanne - Les gratte-ciel.

Bâtiments religieux

Quelques bâtiments religieux de Villeurbanne :

[Cliquez pour agrandir : 78 Kio] Villeurbanne - L'église Sainte-Thérèse. [Cliquez pour agrandir : 92 Kio] Villeurbanne - L'église Saint-François Régis. [Cliquez pour agrandir : 75 Kio] Villeurbanne - L'église Notre-Dame-de-l'Espérance. [Cliquez pour agrandir : 83 Kio] Villeurbanne - La synagogue.


Cette page en français a été créée par Peter à partir de notes de voyage, 16 juin 2000 et modifiée pour la dernière fois 25 août 2020. Son avancement est noté 3/3.